Comment est ce possible ?!

Je galopais depuis dès heure et des heures en direction de la forêt de Barail. J'avais décidé de faire une halte dans cette forêt calme et apaisante. Je laissa ma monture près de la lisière du bois et pénétra à l'intérieur de la forêt. Une douce lueur y baignée. j'étais partit tôt pour prendre le temps de faire une halte ici. La lumière matinal pénétrant le bois était bien agréable je n'avais pas sentit cette sensation depuis longtemps et celà me remplisser de bonheur. J'allais m'allonger lorsque j'entendis un bruit d'épée une bataille se passé donc non loin d'ici et elle était d'une grande violance. Je décida d'intervenir je m'approcha lorsque je vis uneguerrière qui combattait un... Un Ts'lich ?! Mais cette race était sensé avoir disparus de la surace du globe ! Puis je me rémora le récents évènements aynts eu lieux dans les régions du nord. Alors les Ts'liches sont revenu !! Après une infime hésitation je me jeta dans la bataille sans douter bien sûr des chances de victoires que possédait la guerrière mais a deux c'est plus sur. Mais mon arriver ne sembla pas lui faire plaisir.

Me voici maintenant à la forêt de Barail, cela fait plusieurs mois maintenant que j'ai quitté la terre des Frontaliers, le climat de cette forêt n'avais absolument rien à voir avec celui des Frontaliers, ici il faisait chaud et dans certains endroits humides alors que dans les terres où j'ai vu le jour, il faisait froid, la température ne me faisait rien mais cétait lassant à force.

La forêt était dense et bien verte, Kuro était posé sur mon épaule, regardant un peu partout, je le savais qu'il était comme moi, il aimait les endroits et dépourvu de lumière mais parfois la lumière du soleil et le bonne air pure des forêt ne faisait pas de mal, ça changeait un peu de notre quotidien. Le seul et unique problème c'est que je m'ennuyais à mourrir, je ne me suis pas battu depuis des jours, mon dernier combat remonte avec un bandit qui était vraiment nul dans ses techniques et qui voulait se montrer brutal envers moi, j'aurai pu laisser passer ça mais lorsqu'il m'a traité de faible femme, mon sang n'a fait qu'un tour et je n'ai pu m'empêcher de le torturer à ma guise et de le tuer, je pouvais voir encore ses yeux grands ouverts par la surprise.

Soudain un craquement m'arrêta dans ma progression, je mis mes sens en éveil afin de pouvoir mettre un nom sur ce bruit, ce n'était pas un animal, ça c'était sûr, le craquement était trop vif et lourd et le buit des pas étaient pesant, sûrement un homme ou une créature. Je sortis mon sabre noir et argent et me prépara à une éventuelle attaque. Sortis de nulle part, on me donna un coup d'une grande puissance dans mon dos. J'attéris contre un arbre retombant à terre, Kuro s'était envolé pour ne pas être blessé comme moi, il crôassa pour me prévenir que l'ennemi arrivait vers moi. Je me relevais rapidement, ma tête tournais à cause de mon empressement, ce que je vis, était un spectacle rare, un Ts'lich se trouvais face à moi, je pensais qu'il avait disparu depuis des années. Comment ce monstre a-t-il fait pour survivre ? Qu'importe ma lame finira par le trancher.

Je couru vers lui et l'attaqua, évitant de justesse tous ses coups mais les Ts'lich avaient des pouvoirs, un moment dès que je cru l'avoir touché, il se téléporta derrière me frappant tout aussi fort que la première, il recommença ce manège encore et encore, me faisant tourner en bourrique. Du sang coulait de mes lèvres fendus, de mes bras et de ma cuisse. Il se délectait de me faire souffrir ainsi mais il ne sait pas que je suis aussi sadique que lui.

Du coin de l'oeil, je vis une gamine, elle se lança dans le combat. Comment osait-elle interrompre mon combat ? Quelle insolence et quelle honte pour moi ! Une Frontaliers ! Me faire aider par une gamine.
Je m'en moque, je ne l'aiderai pas, elle a voulu participer. Et bien ! Qu'elle se débrouille ! Je suis pas sa nounou et encore moins son garde du corps ! Néanmoins, je vais lui laisser une chance de s'en aller.

- Dégage gamine, les combats c'est pour les grands ! N'interfère pas dans ma bataille ! Tu risque de me gêner !

Tu parle ! J'ai beau dire ça ! Mais qu'importe ce que je pense, je vais la protéger, j'ai beau être une guerrière brutale avec un mauvais caractère, je n'en reste pas moins humaine. Et ce que je savais arriva, le Ts'lich allait attaquer cette gamine, je courru évitant d'une grande adresse tout les coups qu'il me destinait puis je réussi à le blesser, il recula en gémissant de douleur.

Je me retournai vers cette gamine et lui cria.

- J'ai dégagé le terrain ! Fuis ! Et ne te retourne pas !

Il ne vaut mieux pas d'ailleurs avec ce que ce monstre m'a fait, je vais le tuer lentement, le démembrer et je veux l'entendre hurler de douleur et ça rien que pour mon plaisir personnel et lui montrait qu'une humaine peut être encore plus sadique que lui.

- Désolé mais je n'ai pas l'intentioin de fuire cela va probablement t'étonner mais je suis une Marchombre.

Cette gamine une Marchombre ? Les maîtres sont si dépéré qu'il recueille dès le berceau maintenant ? Tant pis pour elle ! Elle a choisit de rester, c'est pas moi qui vais pleurer parce qu'elle se sera fait tuer. J'ai pas à m'occuper d'elle, je travail en solo.

- Comme tu veux mais je vais pas protéger tes arrières gamine ! Alors ouvre l'oeil !

Après lui avoir dit cela, je repartais à l'attaque, une Frontalière, se faire aider par une gamine, ça c'était le comble ! La honte même ! Moi, la meilleure guerrière de mon peuple se faire aider par un petit vermisseau ! Je soupirai d'ennuie, mieux valait me débarasser le plus rapidement de ce monstre vert gluant et puant et ensuite chacun repartirai de son côté. Enfin, je l'espère....

Le Ts'lich ne se laissai pas si facilement surprendre, j'avais entendu parler de leur force et leur intelligence mais comme ils étaient censé être disparut depuis des lustres, personne n'a pu véritablement avérer ces faits. Le Ts'lich disparut, je savais qu'il aimait attaquer par derrière mais je ne me ferai plus avoir, ça c'est terminé. Je me retournais et lui planta ma lame au moment même où il apparut.

- Ah non ! Tu ne m'auras pas cette fois !

- Espèce vermisseau, d'humain sans utilité !

- Oh c'est pas gentil ça, c'est vraie qu'elle a la taille d'un vermisseau mais tu pourrais te montrer plus courtois envers cette gamine. Elle ne t'a rien fait.

Faisant apparaître sur mon visage un sourire mi-taquin et mi-sadique, je me mis à courir à une vitesse importante puis je lui plantai encore ma lame dans son corps, rigolant de plaisir à entendre ces cris aigüs de douleurs.

- Tu vois ? Il n'y a pas que les Ts'lich qui sont sadique moi aussi je le suis et pourtant je suis... Comment tu dis déjà ? Ah oui ! Une humaine sans grande utilité. Pourtant j'ai réussi à te toucher deux fois et je compte le faire encore, je veux entendre tes cris, je veux te démembrer alors que tu vis encore, je laisserai la mort prendre posséssion de toi petit à petit. Et même si tu me supplis, je ne m'arrêterai pas.

Ma voix était si basse et si sadique, mon regard brillait de colère et d'envie de sang et de douleur que je vis sur dans le regard du Ts'lich, une lueur de peur. Commet c'est interessant, moi une simple humaine, j'ai réussi à faire peur à un Ts'lich. Comme c'est bon de sentir l'odeur de la peur sortir de mon ennemis. Puis j'ajoutai.

- Lorsque que ton sang giclera laissant voir tes entraille, je me délecterai de ce spectacle et je prendrai beaucoup de plaisir à avoir ton sang sur ma peau. De toute façon, je trouve ma peau trop clair c'est temps-ci et un peu de vert ne lui ferait pas de mal.

J'entendis quelqu'un déglutir, pas la peine de me retourner pour savoir que c'était cette gamine.

- Je t'avais dis que rester ici serait à tes risques et périls ! Tu le regrette maintenant hein !

A voir ça tête je voyais bien qu'elle ne me croyait pas mais bon ce n'est pas nouveau. Puis elle me laissa faire en me demandant bien sûr d'ouvrir l'oeil. Avant qu'elle ne reparte à l'attaque j'eu le temps de voir sur son visage q'elle ne supportait pas l'aide d'une gamine telle que moi. Normal de la part d'une Frontalière.

J'observai attentivement le combat cependant je voyais bien que le Ts'lich ne se laissait pas avoir aussi facilement. Il esquiva plusieurs attaque avant de disparaître. Je connaissais bien cette techinique tipyque des Ts'lich j'allais intervenir pour l'aider lorsqu'en une fraction de secondes la Frontalière se retourna et frappa le monstre de sa lame avant de lui adresser ceci.



- Ah non ! Tu ne m'auras pas cette fois !

- Espèce vermisseau, d'humain sans utilité !

- Oh c'est pas gentil ça, c'est vraie qu'elle a la taille d'un vermisseau mais tu pourrais te montrer plus courtois envers cette gamine. Elle ne t'a rien fait.

Ah la la. Décidemment ce n'est pas mon jour de chance aujourd'hui. Après un sourire mi-sadique mi-taquindont elle devait avoir le secret elle reparti à l'attaque avec une vitesse fulqurante même le Ts'lich n'arrivait plus a suivre. D'ailleurs celà lui valu très cher la Frontalière planta sa lame dans son corp e semblait satisfaite des cris de douleur que le monstre poussait.

- Lorsque que ton sang giclera laissant voir tes entraille, je me délecterai de ce spectacle et je prendrai beaucoup de plaisir à avoir ton sang sur ma peau. De toute façon, je trouve ma peau trop clair c'est temps-ci et un peu de vert ne lui ferait pas de mal.

Je me mita déglutir ce qui n'échappa pasà la Frontalière qui se retourna et me déclara.

- Je t'avais dis que rester ici serait à tes risques et périls ! Tu le regrette maintenant hein

Moi regretter d'être rester il y avait une erreur sur la personne. Je ne pouvait pas passer cette opportunité pour montrer ce dont j'étais capable. Je lui sourit et lui dit.

-Désolé mais je ne regrette absolument rien justement je vais pouvoir en profiter pour te montrer ce dont je suis capable.

Je ne lui laissa pas le temps de répondre et fonça sur le Ts'lich. Elle devait me prendre pour une folle pour me jeter sur lui sans arme. Mais avant qu'elle ne fasse une reflexion j'écarta mes mains et deux lames jaillirent alors il n'y avait pas de manche et ces épées sortant directement demes mains. Et oui la greffe réservé au Marchombres les plus talentueux. Je souris à l'idée de l'effet que ça pouvait lui faire mais je me reconcentra lorsque j'arriva sur le Ts'lich qui d'ailleurs ne me vit pas venir. Je frappa au niveaux des deux épaules afin de lui laissait une marque avant de me retourner vers la Frontalière;

- Alors qu'en penses-tu ? Satisfaite ?

Cette gamine n'est pas comme les autres, je devais me l'avouer, cependant, elle ne m'impressionna pas plus que ça. Il en fallait beaucoup pour impressionner un Frontalier et surtout si c'était moi, j'ai vu bien des choses dans ma vie et depuis plus rien ne m'étonne. Cependant, elle avait un certain cran fallait le dire.

- Alors qu'en penses-tu ? Satisfaite ?

Ce que j'en pense ? Suis-je satisfaite ? Je ne le suis jamais quand on se mêle de mes affaires. Que ça soit un Ts-lich ou pas, même si ces créatures sont réputé pour être forte et dangeureuse. Un Frontalier est toujours assez fort pour les affronter quelque soit la situation. Qu'elle aurait intéféré ou pas, j'aurai pu me débrouller sans son aide.

- Je ne suis jamais satisfaite lorsqu'on se mêle de mes affaires gamine ! Néanmoins.... Je dois avouer que tu as du cran pour une gamine.

Kuro crôassa bien plus fort que d'habitude, je me tourna et je vis le Ts'lich foncer dans notre direction, j'attendis le bon moment.... et boum, je poussai la gamine vers un côté et moi, je fis une roulade sur le côté de l'autre. Le Ts'lich se prit le tronc d'un arbre en plaine tête.

- Ca c'est que l'on appel foncer tête baissé ! dis-je en rigolant.

Puis mon regard devint des plus sérieux, je commençai à m'ennuyer, il fallait que je le décapite pour m'avoir fait tourner en bourrique, d'un pas lent, je me dirigeai vers mon sabre d'une main et mon poignard que j'avais sorti de ma botte de l'autre. Avec une grande agilité tel un chef cuisinier qui commencerait à vider un animal pour le faire cuir. Chaque fois que je plantai le Ts'lich celui-ci se mit à crier de douleur, il me demandait de le tuer mais moi je m'en fichait, je continuai prenant un réel plaisir à cette torture des plus amusante. Puis il finit par mourir lentement, ses yeux globuleux se fermaient petit à petit et je finis par lui trancher la gorge.

Je m'écartai un peu pour voir à quel point j'ai fais preuve de créativité et j'étais vraiment satisfaite, je battis l'air de mon sabre et mon poignard pour enlever le sang qui y était et je les rangeais. Mon corps était sâle par le sang de mon ennemi, une grande fierté pour un Frontalier même si certain ne sont pas aussi sadique que moi, pour ma cruauté, il paraît que j'ai hérité de mon arrière grand-père, s'il me regardait de là où il était il se sentirait fière de moi même si j'étais une femme. Ce qui me gênait le plus avec ce sang c'est qu'il avait une odeur affreuse. Mais même malgrès cela, Kuro se déposa délicatement sur mon épaule regardant à son tour le spectacle morbide qu'offrait le Ts'lich, il battit des ailes et crôassa de joie. On était sur la même longueur d'onde, c'est pour ça que je lui ai permis de me suivre.

- Bien maintenant, je vais trouver un endroit où je peux m'enlever, ce sang à l'odeur dégoûtant. Si je sens comme ça je vais faire fuir mes ennemis moi !

Je me retournais n'osant ne regardant même pas cette gamine mais sa voix m'arrêta sur ma progression.

-Attend ! Je ne t'es peut être pas satisfaite sur le coup mais je tiens à te montrer mes capacités demande moi n'importe quoi sauf bien sûr me demandait de partir. Alors ?

Je la regardai d'un air ennuyais tout en soupirant, elle allait me coller au train pendant un moment je le sens bien, tant pis, peut-être que si je ne fais pas attention à elle, elle va finir par se lasser de me suivre. Enfin ce n'était pas sûr, c'était le genre de gamine à être determinée et ça se voyait sur son visage.

Je continuai mon chemin tranchant les lianes et autres brindilles gênantes qui était sur le chemin, un moment je m'arrêtai, tendis mon oreille et je reconnu le son d'une cascade. Géniale ! Je vais enfin pouvoir m'enlever cette odeur horrible et ce sang gluant de sur ma peau. L'air devenait légèrement plus humide et frais mais j'en avais l'habitude et puis ça faisait du bien mise à part pour l'odeur qui s'emplifiait et qui commençait à me rendre malade.

Lorsque j'arrivai enfin à la cascade, je fus frappé par la beauté de l'endroit, l'eau était pure et cristalline, la cascade était immense, je poussai un sifflement admiratif à cette vue, Kuro s'envola vers la branche d'un arbre et s'y posa. Pendant ce temps, j'enlevais mes armes et les déposa contre un arbre puis je plongeai dans la bonne eau clair et fraîche de que la cascade avait amené des montagnes. Qu'est-ce que cela faisait du bien, l'odeur du Ts'lich avait totalement disparut mais la gamine, elle, était toujours là avec son sourire niais sur le visage, levant les yeux au ciel. Je me demandais pourquoi moi ! J'étais désagréable avec tout le monde et j'attirai tout de même la sympathie des autres. C'est à n'y rien comprendre !

Je me redressai la fusillant d'un regard noir.

- Très bien ! Tu veux ma réponse ! Rien que tu ne fera ne m'impressionnera ! C'est bon ! T'es contente ! Tu as eu ta réponse ! Maintenant fait moi plaisir vas-t-en avant que je ne te plante de ma lame !

Puis je plongeai totalement de l'eau nageant sur une pierre derrière la cascade, on pouvait me voir légèrement, mettant mes bras derrière moi, je laissai un peu d'eau ateindre ma peau blanche, c'était vraiment une sensation agréable. C'est une chose que je ne pourrai pas faire sur les terres des Frontaliers. A me voir ainsi, on croirait voir une sirène mais une sirène bien particulière. A me voir sans arme, on croirait plutôt à une femme douce et fragile mais heureusement pour moi je suis tout le contraire. Je détachais mes cheveux pour les laver afin d'enlever la sueur et le sang qui s'était inscrusté. J'ouvris les yeux et constata que cette gamine était toujours là à me regarder bêtement.

- T'es toujours là gamine ! u ne me laissera donc jamais tranquille !

- Si je peux te laisser tranquille mais d'abord j'aimerai que nous faisions plus ample connaissance je sais que tu es une Frontalière celà ce voit à ta démarche. Pour te prouver que je ne veux rien d'autre je vais te dire mon identité: Elrydia Zil'Atian maître marchombre. Je sais ce que tu pense car mon être maître marchombre est impossible mais tu en as la preuve.

Elle marque un point, c'est pas dans toutes les contrée que l'on voit Marchombre sortir de ses mains des lames tranchantes, malgrès son physique, elle devait être bien plus forte qu'on ne pourrait l'imaginer. Mais j'allais certainement pas lui en faire part. Mais je fus tout de même fière qu'elle ait remarqué que je suis une Frontalière, s'il y a une chose dont j'étais plus qu'honoré c'était de mes origines. Etre Frontalier dans ma vie c'était une vocation, un réel plaisir, nous avons le combats dans le sang, nous aimons l'aventure bien plus que n'importe qui.

Serrant mes cheveux pour enlever un peu d'eau, je me dirigeais vers l'arbre où mes armes étaient posé, je les poussé un peu et m'assis contre le tronc, me délectant des rayons du soleil sur ma peau de neige. Mais la présence de cette gamine m'énervait et elle n'avait absolument pas peur de moi, c'est pas bon pour les affaires ça. Si une gamine de son âge n'est pas effrayé par la pire mais aussi la meilleure des Fontalières qu'est-ce que ça va être de mes ennemis ?

- Etant donné que tu t'es présenté, je vais le faire moi aussi, ce n'est pas parce que les Frontaliers sont réputé brutaux et innamicaux que l'on en est pas moins poli enfin ça nous arrive mais très rarement. Je me nomme Hell'Sing Lynn mieux connu sous le surnom de l'Eclair d'Argent. Si c'est le cas, tu sais donc de quoi je suis capable, alors si tu ne veux pas finir tranché par ma lame va-t-en. Je préfère la solitude à la compagnie.

A ces derniers mots, Kuro crôassa tout en se posant sur mon épaule. L'air de dire "Et moi ! T'en marre aussi de ma présence". Je me raclai la gorge et repris.

- Je n'accepte la compagnie que de mon corbeau. Il aime le sang et la mort tout autant que moi.

Elle conaissait Edwin, voilà qui est intéressant, lui qui est aussi amical que moi, c'était pas chose aisé de l'approcher néanmoins si ce dernier avait parlé de moi à cette gamine c'est qu'il a dû trouver en elle bien des capacités. Malgrés le fait que j'étais une femme, il fut impressionné de voir que je voulais autant apprendre et continuer l'héritage de ma famille, lui aussi m'a apprit certaine chose.

- Maître Edwin ? Où l'as-tu connu ?

Le jour où j'avais décidé de partir à l'aventure, il n'était pas si d'accord que ça, après la mort de mon père, il m'a prise sous aile et m'a élevé comme sa fille et à continué l'apprentissage que j'avais commencé avec mon père. Il voulait faire de moi la meilleure. Parce qu'il voyait en moi l'avenir des femmes Frontaliers, il voulait prouver aux hommes que les femmes pouvaient se montrer bien plus utile pendant les combat et elles ont des qualités que les hommes ne peuvent avoir. En effet, grâce à notre physique, on peut se faufiler partout sans aucune difficulté.

- Tu peux me dire ce que tu veux de moi ! A par essayer de m'impressionner ce que tu n'arrivera jamais, c'est pas parce que tu es maître Marchombre et que tu fais sortir des lames de tes mains que je vais t'applaudir pour autant !

Et c'est vrai ! Dans ma vie, on était tous comme ça, ne jamais être impressionné par quelqu'un d'autre et surtout pas par son ennemi sinon c'était la défaite assuré. Ne pas être impressionné, j'en ai fait une règle d'or.

- Alors Gamine ! Tu réponds ou tu compte rester silencieuse, quoi que le silence ne me gêne pas du tout.

Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours cherché la solitude ou c'est elle qui me suivait. Comme je voulais devenir Frontalière, certain de mes semblable m'ont évité croyant que j'étais folle enfin ça s'était au début. Peu à peu, je me suis habitué à ma vie solitaire, bien sûr,j'avais encore mes parents à mes côtés, j'arrivais à supporter leurs présences, c'est normal d'ailleurs. Mais j'ai toujours eu des difficulté à me faire des amis ou plus précisément à me montrer sympas envers les autres. J'éai été élevé avec dureté et chaque jours de ma vies étaient un combat et un entraînement constant.

- Reconnaître tes capacités ? La seule chose que je vien reconnaître c'est que tu es têtue comme une mûle, c'est tout ! Alors va jouer aller à la poupée et laisse-moi tranquille ça me ferait des vacances.

Soupirant de plus en plus à cause de la colère qui montait en moi,j'essayai de toutes mes forces de me calmer, j'allais tout de même pas attaquer cette gamine juste parce qu'elle m'énévait, il n'y avait aucun honneur à ça. Croisant mes bras derrière la tête et fermant les yeux afin de profiter du soleil et de me reposer un peu, de toute manière, je pouvais pas faire grand chose, le soleil allait bientôt se coucher enfin dans quelque heure et je me reposai un peu avant de partir à la chasse et pour ramasser des brindilles pour le feu.

- Oh et puis fait comme tu veux, tantque tu ne me prends pas la tête !

- Reconnaître tes capacités ? La seule chose que je vien reconnaître c'est que tu es têtue comme une mûle, c'est tout ! Alors va jouer aller à la poupée et laisse-moi tranquille ça me ferait des vacances.

Moi têtue ! c'est mal me connaître et en en plus elle me demandait de jouer à la poupée. Mais ça serait dur je n'ai plus de parents et plus de foyernc son voeu que j'aile jouer à la poupée risque d'être compromis et puis je n'ai jamais ça. Je ne pouvais pas la laisser me dire des choses comme ça. Soudain j'eu une idée mais si je n'était pas sur qu'elle comprendrait. Je pris une petite branche et traça quelques mots sur la terre.


Eh oui de la poésie marchombre j'en fait comme tous mes semblables. A la fin de ces mots je partis en direction de la forêt cueillir les brindilles à ma façon. Une fois arrivait dans la forêt je me misà la recherche de bonnes brindille à faire flamber. Je fis apparaître ma greffe et coupa de belles branches prêtes à mettre aux feux. Je les coupa d'un geste fluide et harmonieux.
Quelques heures plus tard je revins les bras chargé de branche prêtes à mettre aux feu. En espérant ne plus prendre la tête à la Frontalière. Je les déposa délicatement près d'un arbre et m'assit puis je déclara.

- Désolé mais jouer à la poupée m'est impossible je n'aime pas ça et en plus je n'ai plus de familles mais ormalement tu as du le comprendre avec mon message écrit dans la terre.Dis-je en souriant.

Je me sentais mal d'avoir dit ça lorsque je vis ces mots inscrit dans la terre mais je n'en fit rien paraître sur mon visage, il était impassible et dénué de tout sentiments. Laisser entrevoir ce que je ressens serait une faiblesse de ma part et je ne veux pas que l'on me voit ainsi. Je le vis se lever et partir, enfin je serai à nouveaux seule et en paix. Mais cette solitude ne dura pas longtemps car elle revint avec une grande quantité de brindilles pour le feu. Elle se rendait serviable maintenant. Quelle gamine étrange, certains de mes mots la touchaient et d'autres non.

- Désolé mais jouer à la poupée m'est impossible je n'aime pas ça et en plus je n'ai plus de familles mais ormalement tu as du le comprendre avec mon message écrit dans la terre.

Dire ça tout en souriant voilà qui est courageux, je devais me l'admettre mais je ne dis rien, je me levais prenant mon carquoi, mon arc et mon sabre et m'enfonça dans la forêt sans un mot. Elle s'était occupé du feu, je m'occuperai de la chasse, j'aperçus au loin une biche, je pris mon arc, mit une flèche et tira sur l'animal. Puis je l'égorgeais avec mon poignard et le vida. Je le pris sur mes épaules et l'amena au campement et le mit à chauffer, une fois près, je tendis un morceau à la gamine.

- C'est chaud ne te brûle pas Elrydia.

C'était la première fois depuis qu'elle m'avait donné son prénom que je l'appelais ainsi, elle mérité mon respect avec sa persérance et puis on était à peu près pareil, on était toutes les deux sans familles mais on avait un caractère complètement opposé. Après avoir prit un morceau de viande, je repris.

- Où compte-tu aller toute seule ?

- Ou je compte aller ? C'est bien j'ai deux trois choses à vérifier et après je devrai aller hum... A la Citadelle ... Et oui je nete l'avaispas dit mais je suis chargée de faire un rapport de ce qui se passe dans Gwendalavir et de l'apporté à la citadelle ... Et toi ?.. Lynn.

La citadelle ? L'affaire devait être importante si elle devait se rendre là-bas. Je me doutais que des choses assez mystérieuse se passait dans le pays, j'en ai eu la preuve avec le Ts'lich. Peut-être devrai-je l'accompagner pour avéré ses dire. Oh et puis non ! Si je suis partie de la terre des Frontaliers, c'estparce que je cherchais l'aventure et les combats et c'est pas en retournant là-bas que je vais les trouver.

Je mangeais en silence pendant un moment donnant des miettes de pains que j'avais gardé pour Kuro. La biche était vraiment bonne, j'appréciai la chair de l'animal.

- Moi ? Rien de spéciale, je vagabonde c'est tout.

Cette gamine m'intriguait, malgré son jeune âge, elle était maître Marchombre. C'était intéressant mais rien de plus. On s'étonne de rien de nos jours et surtout pas moi.

- Tu ferai mieux de bien te couvrir pour aller à la Citadelle.

Apparement Lynn n'avait rien de spécial à faire et celà m'aurait étonner qu'elle veuille m'accompagner à la citadelle ça aurait été illogique. On mangea en silence tout en regardant Lynn donnait des miettes de pain à son corbeau. Comment s'appellait-il déjà ? Ah oui Kuro c'est ça. Puis elle me regarda bizzarrement comme ci j'avais fait quelque chose de mal. Puis elle déclara.


- Tu ferai mieux de bien te couvrir pour aller à la Citadelle.

Elle me conseillait de bien me couvrir ?! Celà m'étonna beaucoup compte tenu de son caratère et puis venant aussi de la part d'une Frontalière celà me fit beaucoup plaisir. Jamais personne ne m'avait parler aussi gentiment depuis Elyssia;C'est pour dire ! Enfin je me repris et lui répondit.

- D'accord je vais bien me couvrir c'est promis. Par contre je ne sais pas encore quand je vais partir le trajet est long et je voudrais pas trop tarder. Me conseillerais-tu de passer la nuit ici ?

- D'accord je vais bien me couvrir c'est promis. Par contre je ne sais pas encore quand je vais partir le trajet est long et je voudrais pas trop tarder. Me conseillerais-tu de passer la nuit ici ?

Quel pie cette fille, elle parle beaucoup trop pour moi, elle n'avait peut-être pas l'habitude de la compagnie, moi aussi je suis solitaire mais je sâoule pas les gens pour autant. La solitude commençait à me manquer. Oh douce solitude lorsque tu reviendra, je me consacrerai rien qu'à toi. Voilà que je deviens poète maintenant.

- Fait ce que tu veux.

Après ces mots, je m'allongeai dos à la gamine gardant mes armes à côté, on ne sait jamais et de toute manière c'est instinctif chez les Frontaliers, ils ne dormaient jamais sans leurs armes à côté. Le sommeil ne tarda pas à venir, un sommeil noir emplit de bataille et de sang comme je les aime.

Le lendemain, je me réveillai au aurores me levant tranquillement tout en m'étirant, j'éteignis les dernières braises du feu avec mon pied. Je mis mes armes sur moi et me tourna, je vis que la gamine se réveillai. Un peu maladroitement en hésitant un peu je lui dis.

- Si tu ne sais pas où aller pour l'instant... t'as cas me suivre.....

Puis je repris un peu plus brute.

- Mais je te préviens mes promenade ne sont jamais des parties de plaisir !

Lynn me répondit sur un ton agacés de faire ce que je voulais. Et après mur réflexion je décida de rester la nuit ici. La Frontalière se retourna dos à moi et s'allongea puis j'en fit de même. Pour moi le sommeil mis longtemps à venir. Je repensais à ce que l'on avait vu. Le Ts'llich une créature censé avoir disparu. Etrange non ? Oui étrange que ce Ts'lich soit sortie de nul part. Les Ts'liches serait-il à l'orifine de ce qui ce passe en Gwendalavir. Finalement je m'emdormis à la fin de cette pensée.

Le lendemain le réveille fut difficile. Je me leva et vit Lynn qui était déjà debout. Elle me vit et me proposa alors de la suivre si je ne savais pas quoi faire. Puis elle reprit en disant que les balades avec elle ne sont jamais une partie de plaisir. Je lui répondis.

- Je te suis. Pour les prmoenades qui ne sont pas des parties de plaisir sache quej'en ai l'habitude donc aucun souci pour moi. Par contre as-tu une idée d'ou tu veux allé ?

- Je te suis. Pour les promenades qui ne sont pas des parties de plaisir sache que j'en ai l'habitude donc aucun souci pour moi. Par contre as-tu une idée d'où tu veux allé ?

Question stupide, je vais là où mes pas me guident, je n'ai jamais eu de préférence, l'aventure, les batailles et la mort sont là où je décide d'aller, bien que parfois c'est énervant mais j'ai été élevé ainsi et c'est mon héritage que j'ai reçu de mes ancêtres.

- Je vais là où mes pas me guident. A moins que tu connaisse un endroit très dangereux où je puisse torturer et tuer à ma guise.

Je n'attendis pas longtemps pour avoir une réponse, je pris mes armes et entama ma marche, j'entendais les battements d'ailes de Shiro qui après peu de temps vint se poser sur mon épaule.

Je ressentais une sensation étrange comme si quelque chose nous observait pourtant la forêt n'était pas aussi calme, les oiseaux chantaient, les petits animaux couraient dans les broussailles tout était normal. Pourtant, je ne savais pas pourquoi mais quelque chose me gênait, peut-être mon imagination, enfin bref, je continuai ma route tout en gardant ma méfiance.

- Je me demande vraiment pourquoi tu tiens tant à rester avec moi.