Rencontre [Krishnen]

Je marche. Encore et encore. Depuis un petit bout de temps déjà. Tout ça pour essayer de trouver un endroit assez calme ou je pourrais boire quelque chose tranquillement et dormir.. Chose impossible quand on sais que la ville ou je me trouve est Al-Jeit. Ville toujours remplie de monde. Vu du ciel ça doit ressembler à une fourmilière. Ca doit bien faire la cinquième auberge dans laquelle je rentre et c'est toujours pareil. J'ouvre la porte, je rentre, je demande si il reste une chambre de libre. L'aubergiste me réponds que non et je ressors. C'est toujours le même scénario.

Après réflexion, je me dis que si après avoir fait au moins cinq auberge sans en trouvais une avec de la place, autant abandonner. Je me dirige vers le quartier marchand avec comme objectif de me trouver un nouveau poignard. Aucune attention de payer bien sur. Après avoir repérer plusieurs étalage intéressant, je me dirige finalement vers un marchand qui vend tout type d'arme. Je parcoure l'étalage d'un rapide coup d’œil. Rien qui m’intéresse. Je lève ensuite la tête pour voir les différentes armes accrochées. Un petit poignard avec un manche en cuir marron retient mon attention. Il à l'air assez léger et facile à magner. Je tend la main vers l'arme comme-ci je voulais juste le toucher histoire de connaître sa matière. Il suffit de le faire glissée dans ma manche et le tours et jouer. Je baisse en suite mon bras et glisse le poignard dans la poche de mon manteau de cuir.

- Je peux vous aidez ?

Le marchand. Je n'ai aucune idée de si il m'a repérer, mais je préfère faire comme-ci je cherchais quelque chose qu'il ne possède pas.

-Je cherche un arc. Vous en avez ?

Je lui ai répondu froidement. Je ne lui ai pas parlé de cette façon volontairement. C'est ma voix qui est comme-ça. Elle a toujours était comme-ça. Froide et peu accueillante.

-Je ne parlais pas de ça, mais de ce que vous venez de voler.

Il s'en ai aperçu. Que faire ? Partie en courant ou défendre ma cause ? Je n'ai même pas le temps de choisir une solution, que le marchand cris déjà.

-Au voleurs, au voleurs !

Manque de chance, deux gardes passent devant nous à ce moment là. Dès qu'ils entendent le cris de ce stupide marchand, ils se tourne vers moi. Pas le temps de réfléchir. Je m'élance dans le foule et me met à courir. Le contraire m'aurait étonnée, les gardes se sont mis à courir pour me rattraper. Je n'hésite pas à donner des coups de coudes dans les côtes des passants qui auraient la mauvaise idée de se trouver sur mon chemin. Leurs arrachant parfois des « ouille » ou des « aïe ». Je tourne au coin d'une ruelle et je me met à escalader le façade d'une maison pas très haute. Je connais les bases de l'escalade grace à mon père, un ancien mercenaire du chaos. Il m'a appris à grimper, mais que sur des petites hauteurs. Je lui doit beaucoup. Après sa mission dont il n'est jamais revenu, je me suis jurée de devenir mercenaire. Mais pour cela, il faudrait que je trouve un maître.

Une fois arrivée en haut de la façade, je me hisse par le force de mes bras sur le toit plat. A peine me suis-je relevais, que les gardes arrivent au coin de la ruelle. Je m'allonges et les regarde poursuivre leurs courses sans me remarquer.

Je suis maintenant assise dans une auberge. Après être redescendu dans la ruelle, je m'étais de nouveau lancée à la recherche d'une auberge avec une chambre de libre. La première ou je suis entrée, j'ai étais demandée à l'aubergiste si il restait de la place et, coup de chance, il m'avait répondu oui. J'en avais alors réservée une et avais demandée que l'on m'apporte une boisson chaude à la table ou je suis maintenant assise.